J'apprécie aussi beaucoup la musique du moyen-orient
Là, c'est un chant en hébreu qui a d'ailleurs fait l'objet d'une danse par le chorégraphe Maman Schlomo - 1985
Paroles : Natan Yonathan - יונתן נתן Musique : Sasha Argov - סשה ארגוב
Voilà une traduction en français trouvé sur internet :
"Chant du pays
Un pays qui mange ses habitants Et ruisselle de lait et de miel, avec un ciel d’azur, Parfois même, il vole lui-même La brebis du pauvre.
Refrain Un pays adouci par ses mottes de terre Et dont tous les rivages sont salés comme les pleurs. A qui ses amoureux ont donné Tout ce qu’il était possible de donner.
La scille blanche pousse de nouveau Là, sur un chemin unique, Et le jasmin apportera la senteur Des champs perdus du temps.
Un pays adouci par ses mottes de terre…
Chaque printemps ses séneçons reviennent Pour recouvrir tous les plis de son sol. Le vent d’été caressera dans la lumière La tristesse de ses pierres.
L‘automne revient avec ses lourds nuages Pour couvrir de grisaille tous ses jardins. Et l’hiver fermera ses paupières Qui pleurent.
Magnifique mélodie, je suis extrèmement sensible
RépondreSupprimeraux chants et musiques du moyen orient. Dommage de ne pas comprendre les paroles.
Belle journée
J'apprécie aussi beaucoup la musique du moyen-orient
RépondreSupprimerLà, c'est un chant en hébreu qui a d'ailleurs fait l'objet d'une danse par le chorégraphe Maman Schlomo - 1985
Paroles : Natan Yonathan - יונתן נתן
Musique : Sasha Argov - סשה ארגוב
Voilà une traduction en français trouvé sur internet :
"Chant du pays
Un pays qui mange ses habitants
Et ruisselle de lait et de miel, avec un ciel d’azur,
Parfois même, il vole lui-même
La brebis du pauvre.
Refrain
Un pays adouci par ses mottes de terre
Et dont tous les rivages sont salés comme les pleurs.
A qui ses amoureux ont donné
Tout ce qu’il était possible de donner.
La scille blanche pousse de nouveau
Là, sur un chemin unique,
Et le jasmin apportera la senteur
Des champs perdus du temps.
Un pays adouci par ses mottes de terre…
Chaque printemps ses séneçons reviennent
Pour recouvrir tous les plis de son sol.
Le vent d’été caressera dans la lumière
La tristesse de ses pierres.
L‘automne revient avec ses lourds nuages
Pour couvrir de grisaille tous ses jardins.
Et l’hiver fermera ses paupières
Qui pleurent.
Un pays adouci par ses mottes de terre… "
Amicalement